Passaic,new Jersey

Shotgun House:




Joey Calco:



Kristen Macalusa:



Joseph "Joey" Calco avait roulé un peu plus d'une heure avant de se retrouver à proximité de la petite ville de Passaic ou il avait loué précédemment une Shotgunhouse afin de s'installer à la campagne et d'y bénéficier d'un cadre de vie agréable loin du stress et du bruit assourdissant de la ville de New York,il avait emmené des valises pleines de vêtements,ainsi que des objets de la vie quotidienne comme une télévision par exemple et une femme,Kristen Macalusa,alias Tina dans la rue,une prostituée de la famille Marzzone que Joey connaissait assez bien,elle jouerait le rôle de sa femme afin de créer une sorte de background d'une vie antérieure qu'il n'avait pas eu.

Il gara sa voiture,ouvrit la porte de sa "femme" et sortit les bagages de la voiture puis ils rentrèrent dans la maison.Ils déposèrent les bagages dans la chambre et une fois Kristen sortit,il rangea son automatique dans le premier tiroir de la table de nuit.Puis il sortit et cria à sa "femme":

"Je vais en ville faire des courses,à toute à l'heure chérie..."

Isaac Berkovitz eu un mauvais sourire à l'intention de l'homme qui venait interrompre la conversation entre lui et son frère. Il écrasa la fin de sa cigarette dans le cendrier, se servit un verre de rhum et demanda

- Quelle genres d'affaires ?

John, qui visiblement était plus reservé resta observateur de la discussion entre son frère et l'inconnu.

John eu envie de sourire devant la demande totalement incohérente du type en face de lui. Certainement pensait t'il que l'homme plaisantait, mais devant son regard sérieux et celui de Isaac ,il se ravisa.

Issac qui lui savait plus ou moins de quoi il s'agissait, du moins se doutait des intentions qu'avait l'homme en face de lui, déposa tranquillement son verre sur la tabe et demanda en chuchotant à son tour

- De l'éphédrine... je vois ! Et combien il vous en faut au juste et pour quand ?

Isaac ne fut pas un brillant écolier dans sa jeunesse, mais il savait que c'était certainement pas à des fin thérapeutiques que l'homme lui demandait ce genre de marchandise, plus que douteuses.