Le convoi / Bronx

- Déjeme hablar ! S'écria Luis Oliveras à ses hommes qui le suivaient tous armés et prêt à tirer si il était nécessaire de le faire. Lui s'avanca en direction de l'homme qui s'était adressé à son garde de facon plutôt arrogante.

- De quel marchandise vous parler au juste ?

Luis Oliveras ne parassait pas trés bien comprendre ce que voulait les hommes.

Luis Oliveras, n'avait pas de temps à perdre avec ses enfantillages, Monsieur Solis, le boss, n'allait pas tarder à arriver, et il n'allait pas apprecier la présence de ses hommes, surtout pour venir revendiquer de la drogue, qui plus est une marchandise qui avait déjà disparut depuis un certain temps...Sous ses airs d'ignorant Luis savait trés bien de quoi il s'agissait, mais que pensaient ils ? Ils se trouvaient sur le territoire Luis et avait trés peu de chance de s'en sortir vivant. Luis ne comprenait pas bien ce qu'ils venaient faire ici.

- Vous feriez mieux de partir messieurs! s'exlama Luis

Puis il se retourna et ajouta à ses hommes en espagnol

- Assurez vous qu'il ne soit plus là dans cinq minutes, Monsieur Stolis ne devrait plus tarder ...

Monsieur Stolis, était un hommes reputé à New York, nottament comme un narcotraficant, qui n'avait pas hésité à collaborer avec de puissant cartel mexicain et colombien, nottament le Gulf Cartel et le Cartel de Cali, qui gére plus de 80% du traffic de cocaine de Colombie vers les Etats Unis. Même si Monsieur Stolis entrenait de meilleur relation avec le Cartel de Cali, il n'en demeurait pas moins informé par le Gulf Cartel des différents traffics allant du mexique aux Etat Unis. Autrement dit à New YorK Monsieur Stolis controlaient 70% des marchandises provenant de Colombie et 40% de celle qui venait du Mexique. Cepandant Monsieur Stollis n'était pas le genre d'homme à se laisser doubler, et Luis était certain que si cette marchandises avait été détourné c'est qu'il devait y'avoir des raisons.

-Quand les mafiosi s'en mélé c'est jamais bon, mais c'est bien connu, faut toujours qu'il touche tout ! Ironisa Luis à l'intention de son bras droit qui l'avait suivit à l'intérieure de la maison. Luis alla suivre la scéne à travers la fenêtre du salon, il savait que ses hommes n'hésiteraient pas à tirer ! Pendant ce temps la, Juanito, un des hommes de Luis , comment ca à plaisanter avec les italiens.

- Vous avez pas entendu, vous feriez mieux de dégager les cannelloni !

- Que vous soyez des Manzonis me suffira pour le moment. Suivez-moi.

Stollis accepta le sac de billets et regarda rapidement dedans pour examiner a peu près la somme.
Les trois hommes entrèrent, entourés des trois gardes du corps de Mr. Stollis.
Il s'asseyèrent au salon et des verres de whisky leurs furent approtés.

- Bueno! Je veux maintenant savoir précisement ce que vous nous voulez. Et une pequeno précision, il n'y a pas de civils, on appartient a une famille toute sa vie, idem chez moi.
Vous êtes venus en tant que Manzoni pour les représenter...Maintenant dites-moi le pourquoi de votre venue.

HRP: Je te retire combien d'argent vu que t'en as donné a Stollis?

Mr. Stollis fut surprit de la réponse de l'homme, il regarda une seconde Juanito puis revint sur l'homme.

Juanito: - Bastardo! Cabron!! C'est des mensonges, rien que des mensonges venant de la bouche de sales macaronis!

Stollis: - Silencio!!Nous règlerons cela bientôt. Si ce que vous dites est vrai, bien, vous nous prouvez votre amitié, cette association sera correcte, et vous recevrez 2000$ mensuel contre des informations.
Si cela est faux ou qu'il y a non-respect un jour, nous reprendrons ce que l'on vous a donné, et le Cartel vous détruira, sans que vous puissiez rien contre nous. Tenez-le vous pour dit, ce n'est qu'un contrat sur la parole, voila ce qu'il adviendra si une telle chose arrivait, ce que je doute de votre part.

Un garde de la maison avanca et murmura a l'oreille de mr. Stollis.

- Mmmmh....Bueno! tu remplaceras Juanito, ne me décois pas comme il l'a fait. Valdez, vous savez ce que vous avez a faire...

Juanito voulut protester ou tenter quelque chose, mais un garde l'attrapa fermement a la gorge et serra jusqu'a ce qu'il s'évanouisse pour ensuite se faire aider par un autre pour l'emmener.

- Votre bonne foi a été assurée. Bueno, je suis content de faire affaire avec des gens habiles et renseignés comme vous. Voici 2000$ comme je vous l'ai proposé, vous en recevrez chaque mois.

[tu peux tenter de négocier, mais ils n'a pas de pitié comme tu le vois, sinon je valide, dis-le moi par Message Privé]

Giuseppe Cirillo, lui aussi fut surpris de la réaction de Stollis envers Juanito, puis il se mit à rire du sort que le réserve cela et lui dit a son tour :

-Cela me convient,Mais ne croyez pas nous somme assez puissant pour vous défendre et pour nous défendre contre tout ennemi..

Tony DeSimone fut heureux de la réponse de Stollis,Et lui réponda :

-Je croit que l'on peut se serré la main.


[HRP/] Tu peu Validé et fermé stp, Tu peu attaqué l'autre Topics si tu veu!